Traitement naturel hépatite C

Se débarrasser de l’hépatite B, C, D en 4 mois grâce à nos antiviraux naturels sans effets secondaires hepirax…etc. protéger son foie pour ceux qui souffrent d’hépatite C

L’hépatite C qui est déjà considérée  par la médecine conventionnelle comme une maladie incurable, peut être traitée si le dépistage se fait à temps contrairement à ce que l’on nous fait croire. La transmission du virus de l’hépatite C se fait généralement à 80%  par voie sanguine, transfusion de sang ou injection intraveineuse de drogue. Une hygiène de vie saine est recommandée pour les porteurs du virus de l’hépatite C, la consommation de l’alcool est interdite. Pour les personnes en surpoids un régime pour la perte de poids est nécessaire afin de réduire l’activité des enzymes et de faciliter la thérapie antivirale.

L’hépatite C renvoie à un mécanisme inflammatoire  du foie provoquant des lésions des cellules hépatiques (hépatocytes).

Le foie est l’organe qui communique de manière générale avec la rate et les poumons. Les personnes atteintes d’hépatite C chroniques sont plus à risques de contracter plusieurs infections pulmonaires et voire une bronchite.

Fort de ce constat, la nature nous a apporté une multitude de remèdes naturels qui soignent méticuleusement. Avec nos antiviraux naturels nous privilégions avec une grande importance le renforcement et la protection des organes ainsi que le système immunitaire et une diminution du taux de réplication virale. Au cours de l’infection aiguë, quel que soit le type de virus en cause, les cellules endommagées libèrent des enzymes intracellulaires (transaminases) qui se trouvent dans des niveaux élevés dans le sang. La phase chronique de l’hépatite est caractérisée par une diminution progressive des fonctions hépatiques, avec un déficit de facteurs produits par le foie (albumine, prothrombine et les facteurs de coagulation), le déficit du métabolisme hépatique des médicaments et des hormones, une élévation persistante des transaminases et des taux de bilirubine (s’il y a cercle d’obstruction des voies biliaires). Lorsque l’hépatite chronique progresse vers la cirrhose, il établit une difficulté de circulation dans le foie qui provoque l’hypertension des vaisseaux d’alimentation (hypertension portale et des varices œsophagiennes).

Symptômes

Les symptômes commencent à apparaitre 4 à 5 semaines suivant l’infection et après. L’hépatite virale aigue: symptômes à court termes, c’est la rencontre du virus de l’hépatite et l’organisme.

La première phase correspond à:

  • Fatigue importante
  • Fièvre
  • Manque d’appétit
  • Diarrhée
  • Vomissements
  • Nausées
  • Parfois, des douleurs articulaires
  • Des éruptions cutanées

La deuxième phase: apparition d’ictères, la fièvre cesse

  • Ictères
  • Urines foncées
  • Une hépatomégalie (gros foie)
  • Selles claires
  • Nausées
  • Augmentation de la rate dans certains cas
  • Encéphalopathie hépatique……..etc.

Complications possible, en cas d’hépatite B et C chronique:

  • Cirrhose du foie, près de 1/5 des individus souffrant d’hépatite B chronique
  • Cancer du foie, moins de 5/100 chez des individus atteints de cirrhose.

En cas d’hépatite C chronique, nous observons les mêmes complications. Les cellules du foie peuvent être infectées par le virus, qui est automatiquement détruites par le système immunitaire formant des cicatrices fibreuses

L’hépatite B et C chroniques favorisent l’apparition des cirrhoses et cancers chez certaines personnes. Pour ce qui est de l’hépatite D, en cas de coïnfection VHD/VHB avec un virus VHD très actif et quelques complications hépatiques, nous pouvons dire que l’hépatite D favorise ou facilite aussi l’apparition des cirrhoses.

Interactions avec les médicaments anti-VIH

Les médicaments suivants pourraient intensifier les effets secondaires associés à la ribavirine :

  • AZT (zidovudine, Retrovir), également présent dans Combivir et Trizivir—à éviter;
  • d4T (stavudine, Zerit) —à éviter;
  • ddI (didanosine, Videx EC) —il ne faut jamais l’utiliser en même temps que la ribavirine.

Cirrhose

Une cirrhose hépatique est un terme général désignant une destruction des cellules hépatiques et leur remplacement par un tissu cicatriciel, elle s’accompagne d’altération plus ou moins importante des fonctions du foie, toutes les maladies qui atteignent le foie peuvent éventuellement entrainer une cirrhose. L’absorption prolongée d’alcool peut provoquer l’apparition d’une cirrhose du foie (cirrhose alcoolique), l’alcool reste la cause la plus fréquente de cirrhose du foie dans la plupart des pays du monde, on pense que les lésions des cellules hépatiques résultent de la combinaison des effets toxiques de l’alcool et de la mauvaise alimentation généralement observée chez les alcooliques.

Symptômes d’une cirrhose

Ils varient avec le degré de destruction du foie, certains cas resteront indétectables pendant des années. A un stade de plus, une perte d’appétit, des nausées, des vomissements, une perte de poids peuvent apparaitre.  Lorsque la maladie progresse, la maladie devient apathique, s’affaiblit, perd toute énergie, les jambes et l’abdomen enflent (œdèmes et ascite) ; un ictère (jaunisse) peut apparaitre ; l’état mental du malade se détériore. Certaines complications redoutables peuvent survenir ; hémorragies digestives. Le traitement d’une cirrhose du foie commence avant tout par éliminer les causes  d’intoxication des cellules hépatiques ; alcool, infections, blocage des voies biliaires, etc. Au début, le volume du foie peut augmenter ou rester normal ; à un stade très avancé, il est parfois très diminue (atrophie), on peut aussi constater l’augmentation du volume de la rate. Le traitement par voie naturelle est recommandé, mais avec beaucoup de risque vous pouvez aussi essayer par une voie chirurgicale.

Cirrhose compensée et décompensée

Les patients souffrant de cirrhose compensée ont un très grand besoin en nutriment. La malnutrition a un effet négatif sur les résultats cliniques des cirrhoses décompensées et c’est un signe annonciateur du rétablissement ou de la survie des patients atteints de cirrhoses.

Encéphalopathie hépatique

C’est une complication chez les patients cirrhotiques et est considère comme une détérioration de l’activité mentale présentant des signes de confusion et de désorientation. La principale cause d’encéphalopathie hépatique est la défaillance du foie qui a du mal à traiter l’accumulation de produits provenant de la dégradation des protéines.

Ascite, poids et stéatose

L’ascite c’est l’accumulation de liquide dans la cavité abdominale. Elle a comme pour principal cause la conservation exagérée de sodium, elle est l’une des complications responsables de la cirrhose, Son traitement demande une restriction alimentaire en sodium.

La stéatose hépatique ou foie gras, est l’accumulation de gras dans les cellules hépatiques. Elle reste un frein à la réussite du traitement du VHC et est présent chez la plupart des patients d’hépatite C. la maladie est généralement de pair avec l’obésité ou le mécanisme liée à l’adiposité viscérale, elle est le signe d’un début du développement d’autres maladies du foie. Les patients en surpoids doivent adopter une activité physique régulière, avoir une alimentation saine, une perte légère du poids est important.

La malnutrition participe à la progression de la maladie et est en partie responsable de ses complications pouvant être fatale. la réussite d’un traitement est en partie grâce à une bonne alimentation, se nourrir bien est tout aussi important que d’ingérer des médicaments.

 Rôles du foie

Le foie est l’organe le plus grand du corps, il est fondamentale pour une bonne activité de notre organisme. Synthétise la bile pour une bonne digestion des graisses, élimine les substances toxiques dans le sang, stocke les vitamines.

Le foie réalise plus de 400 fonctions,  nous considérons que plusieurs dysfonctionnements ou maladies du corps est plus ou moins lies au foie.

  • Stocke les vitamines
  • Desintoxique
  • Synthetise les proteines
  • Secrete la bile
  • Secrete les hormones…..etc.

 Les principales causes de l’altération du fonctionnement du foie sont :

  • Soit par une altération des cellules hépatiques (à la suite d’une infection ,d’une intoxication, d’une cirrhose, d’un cancer, etc.)
  • Soit par l’obstruction des canaux écoulement de la bile (tumeur, calcul, etc.)

Les maladies hépatiques sont fréquentes, mais elles ne se manifestent pas toujours car le foie possède une capacité extraordinaire à compenser ses altérations et a fonctionner d’une façon satisfaisante malgré les atteintes qu’il peut subir. Une crise de foie est un terme qui recouvre rarement des anomalies du fonctionnement hépatique, mais plutôt des excès alimentaires, des chocs émotionnels ou diverses maladies de l’estomac, de l’intestin et de la vésicule biliaire.

L’ictère ou jaunisse est dû à une concentration anormale de pigments biliaires dans le sang qui colorent la peau, les yeux et les muqueuses. L’ictère est communément appelé jaunisse à cause de l’aspect jaunâtre du malade. Un ictère n’est pas toujours d’origine primitivement hépatique, il peut être du a une destruction excessive de globules rouges (hémolyse), ou à une accumulation de la bile dans le sang à la suite d’une affection de la vésicule biliaire, des canaux biliaires, du pancréas ou d’autres organes adjacents au foie. Quand les canaux biliaires sont obstrues, la bile ne peut plus s’écouler et s’accumule dans le foie, de graves lésions de cellules hépatiques et une altération de leurs fonctions peuvent en résulter. Un tel état, s’il persiste, peut induire une forme de cirrhose.

Le foie peut être aussi touche par des infections bactériennes, car certaines bactéries peuvent provoquer des infections hépatiques généralisées ou des abcès. Le plus souvent, il s’agit d’une complication d’une autre maladie (appendicite, colite, etc.). Grâce aux antibiotiques, ces complications sont devenues rares. Une mononucléose infectieuse peut présenter le même tableau clinique que dans le cas d’une hépatite virale commune

CANCER DU FOIE

Le foie peut être atteint par un cancer, il peut être primitif (d’origine hépatique) ou secondaire a une atteinte cancéreuse d’un autre organe. Les causes exactes d’un cancer  primitif du foie sont inconnues mais on sait que les cancers du foie sont beaucoup plus fréquents après une cirrhose ou une hépatite chronique. D’autres parts, certains corps toxiques (arsenic, chlorure de vinyle….) semblent le favoriser. Les métastases (cancers secondaires) hépatiques sont très fréquentes et le foie reste l’organe le plus souvent atteint par les métastases digestifs, bronchites, thyroïdiens ou du sein.

Les symptômes d’un cancer du foie varient beaucoup selon l’extension et la nature de l’atteinte, généralement on observe : une perte de poids, une fatigue générale (asthénie), une perte d’appétit (anorexie) et une hypertrophie nodulaire du foie. Tous les symptômes de maladies graves du foie peuvent existe : ictère, hémorragies, œdèmes des jambes, ascites.

Le traitement chirurgical du cancer du foie n’est envisageable que si l’atteinte est localisée, ce qui permet alors d’enlever une partie de la glande (hépatectomie réglée)

CHIRURGIE DU FOIE

Quand doit-on recourir à la chirurgie pour soigner des atteintes du foie ?

  • En cas de plaie du foie, à la suite d’un traumatisme (accident de la route, blessures par armes à feu, armes blanches),
  • En cas d’abcès qui sont généralement des complications d’autres maladies,
  • En cas de kystes, les plus fréquents étant les kystes hydatiques dus au développement des larves d’Echinococcus transmises par les chiens,
  • En cas de tumeurs bénignes ou de tumeurs lymphatiques,
  • En cas de cancer ne touchant qu’un segment isole du foie,
  • Certaines cirrhoses,

Comment peut-on diagnostiquer une blessure du foie ?

Les malades présentent des signes de choc et d’hémorragie interne, on retrouve la notion de traumatisme de l’abdomen. La partie supérieure droite de l’abdomen est enflée et douloureuse. Il n’est pas nécessaire d’opérer  lorsqu’il existe une blessure du foie, si l’hémorragie est minime, on peut ne pas intervenir et suivre l’évolution de l’état. Par contre, un éclatement du foie est une blessure grave, mais un recours rapide à la chirurgie permet à un grand nombre de survivre.

Doit-on nécessairement opérer tous les abcès du foie ?

Pas toujours, nos produits naturels permettent fréquemment au patient de guérir sans  que l’on ait à intervenir, cependant s’il existe une importante quantité de pus dans le foie, un drainage chirurgical s’impose.

Est-il possible d’opérer une tumeur hépatique?

Les tumeurs bénignes sont le plus souvent opérées avec succès. Pour les cancers, tout dépend de l’envahissement : on peut opérer les cancers qui n’ont pas dissémine dans tout le foie.

Quelle est la nature des interventions chirurgicales pratiquées dans les cirrhoses ?

Les cirrhoses empêchent le sang de circuler à travers le foie, les opérations entreprises visent donc à dévier la circulation autour du foie et de diminuer les risques d’hémorragies digestives liées à l’hypertension. On pratique les dérivations entre le système porte (sang arrivant au foie et les veines caves. Ces opérations pour cirrhoses du foie sont graves, mais de bons résultats peuvent être obtenus. Après l’ablation d’une partie du foie, tout le fonctionnement redevient normalement.

 

Retrouvez la première partie dans : traitement naturel maladies virales

Le SIDA : Syndrome d’immunodéficience acquise

Qu’est-ce que le sida ?

VIH : le virus du sida

Qu’est-ce qu’un rétrovirus ?

Transmission et symptômes du sida

Le  VIH, lorsqu’il pénètre dans l’organisme et l’infecte, attaque surtout les lymphocytes (variété de globules blancs) appelés T-4  à travers les récepteurs CD-4.

Porteurs du virus

L’infection par le VIH peut rester latente pendant plus de dix ans, sans présenter de signe cliniques, et sans que le patient s’aperçoive qu’il est malade, c’est-à-dire porteur du virus du sida. D’autre possibilité est que périodiquement l’ADN du virus, inséré dans le génome de la cellule infectée, ordonne à l’appareil biosynthétique de la cellule de produire des protéines de l’enveloppe protectrice et de l’ARN viral, et formant un virus qui sortira hors de cellules et en infectera d’autres.

Attaque contre les macrophages

Le VIH attaque aussi d’autres globules blancs : les macrophages Il les attaque parce qu’ils possèdent aussi la molécule antigénique CD-4, comme les lymphocytes T-4.

Infections opportunistes

Les lymphocytes T-4 sont des composants fondamentaux de notre système immunitaire, c’est pourquoi leur destruction massive rend le sujet très vulnérable aux infections opportunistes qui, en dernier ressort et assez souvent, sont les causes de sa mort.

L’immunité

L’organisme en général et les lymphocytes T-4 secrètent de nombreux anticorps qui circulent dans le sang,  qui s’unissent aux antigènes viraux et les neutralisent, c’est ce qu’on appelle réponse humorale.

Les objectifs du VIH

Il existe deux types de leucocytes, c’est-à-dire de globules blancs du sang. Le macrophage et le lymphocyte, le VIH infecte une variété de lymphocytes, dits T-4, à l’intérieur desquels il peut rester à l’état latent, même durant plus de deux ans. Finalement, il est détruit, donc leur nombre diminue, et l’organisme perd ses défenses, le VIH, en revanche, ne détruit pas les macrophages, il les utilise comme réservoir. Les macrophages transportent ainsi les virus du sida jusqu’au cerveau, ou ils causent des dommages importants au niveau du système nerveux.

Transmission et pratique à risque

Les voies de transmission du VIH, responsable du sida :

  • Les rapports sexuels ;
  • Les transfusions sanguines contaminées ;
  • La voie transplacentaire, avec passage du virus de la mère au fœtus pendant la grossesse ;
  • l’infection de l’enfant pendant l’accouchement ;
  • la contagion du nourrisson pendant l’allaitement ;
  • l’emploi de seringues ou d’autres objets pointus ou coupants contamines, lorsqu’ils entrent en contact avec le sang ;
  • le contact des blessures ou des muqueuses (buccales ou vaginales) avec des liquides organiques contamines (suppurations, sang, sperme).

Ces mécanismes sont déterminants chez les groupes qui sont soumis a une plus grande échelle au risque de contagion ;

  • homosexuels,
  • toxicomanes par voie intraveineuse,
  • homophiles et autres malades ou opérés, receveurs de transfusions ou d’hemoderives, et ;
  • enfants de femmes enceintes par la maladie.

Cas exceptionnels ;

En théorie, l’inoculation du VIH par les instruments chirurgicaux ou odontalgiques est possible, et par ceux qui sont employés par les coiffeurs, les services de manucure, les pédicures, les acupuncteurs.

Les symptômes du sida

Les manifestations infectieuses du sida sont en rapport avec des germes: les responsables de la pneumonie, les germes herpétiques (simple 1 & 2), les champignons microscopiques provoquant les mycoses, les crypto coques, les cytomégalovirus, le virus de l’hépatite (en particulier le virus de l’hépatite C).

Les premiers symptômes

On peut suspecter une infection par le VIH lorsqu’un ou plusieurs des symptômes suivants, n’obéissant pas à une cause connue, persiste durant trois mois ou plus :

  • lymphadenopathies (gonflement des ganglions non inguinaux,
  • perte de poids importante,
  • fievre intermittente ou continue superieure à 38 degre celcius,
  • sueurs nocturnes,
  • malaise et faiblesse generale,
  • douleurs musculaires et articulaires,
  • toux
  • photophobie (intolerance à la lumiere),
  • exanthemes (taches eruptives cutanees),
  • alterations nerveuses : encephaliques, meningites, etc.,
  • troubles digestifs ; vomissements et diarrhées,

Quelques-uns de ces premiers signes peuvent disparaitre dans une période de trois à neuf semaines.

Possibilité de traitements

Malgré tous les intérêts enjeu, il n’existe pas encore de médicament susceptible de vaincre l’infection virale. Il existe néanmoins diverses substances ayant une activité rétrovirale qui agissent sur les différentes phases du cycle de réplication du VIH. Les substances suivantes possèdent une activité rétrovirale suffisante pour être utilisées :

  • la zidovudine (avant dite AZT, ou azidothymidine) ;
  • la dideoxycytidine ou didanosine (DDI) ;
  • la zalcitabine ;

Ces médicaments inhibent la transcriptase inverse du VIH et paralysent la synthèse de l’ADN viral. Bien que la question soit débattue, en général on considère que le traitement antiviral doit débute lorsque le taux de cellule CD-4 est inférieur à 500 par mm3. Le taux normal est de 1000 à 1500 cellules CD-4 par mm3, et diminue au fur et à mesure de la progression de la maladie. Moins de 500 cellules par mm3 indiquent que le sida a cessé d’être asymptomatique et qu’il est devenu une maladie.

Traitement par voie naturelle

Nous ne détenons aucun traitement dans notre gamme d’antiviraux et antirétroviraux afin de guérir complètement le VIH sida, nous pouvons par contre, renforcer le système immunitaire des patients concernes avec nos différentes vitamines naturelles, (Gefine-F, Gézèna). Le traitement naturel avec nos antirétroviraux permet d’éliminer les bactéries  et contenir la propagation des envahisseurs viraux.

Témoignages

Je developpeais des symptomes semblables aux maladies virales mais apres quelques prescriptions d’examens de la part de Psamgreen, j’ai constate que je souffrais d’hepatite B chronique avec une transaminases tres au dessus de la norme. J’ai demande, Un traitement de 10 semaines seulement avec l’antiviral Effihep et Gezena. Mon premier contrôle a été surprenant, ADN HB indetectable apres 12 semaines, il m’a été conseille d’en consommer encore pour une duree de 1 mois, a la fin de ce mois j’ai attendu deux semaines pour faire un nouveau contrôle ou l’on m’a declare negatif. J’attends faire un autre apres 3 mois pour uneconfirmation. Je suis originaire d’Abidjan.

Je souffrais d’une coinfection virale d’hepatite C et B, une echographie du foie avec quelques complications, transaminases et phospahatases alcalines assez haut. Je me suis vu prescrire comme supplements: Hepirax 2/ Hepirax/Effihep pour une durée totale de 32 semaines. Quatre mois après j’avais déjà un HB indétectable, a la fin du traitement le virus du HC était aussi indétectable j’ai juste attendu la séronégativité en continuant a nouveau mon même traitement sans effets secondaires pendant 3 mois de plus.

J’ai été diagnostiqué d’une coïnfection HIV/VHC en 2015, j’ai suivi auparavant les traitements pharmaceutiques antiviraux et antirétroviraux sans solution. Puis j’ai décidé de me pencher sur la sante naturel pour améliorer mon état, j’ai trouve votre site internet et ca m’a intéressé. J’ai pris comme traitement Hepirax et Hepirax 2 pour une durée de 5 mois

je développais des symptômes semblables aux maladies virales mais après quelques prescriptions d’examens de la part de Psamgreen, j’ai constate que je souffrais d’hépatite B chronique avec une transaminase très au dessus de la norme. J’ai demande, Un traitement de 10 semaines seulement avec l’antiviral Effihep et Gezena. Mon premier contrôle a été surprenant, ADN HB indétectable après 12 semaines, il m’a été conseille d’en consommer encore pour une durée de 1 mois, a la fin de ce mois j’ai attendu deux semaines pour faire un nouveau contrôle ou l’on m’a déclaré négatif. J’attends faire un autre après 3 mois pour une confirmation. Je suis originaire d’Abidjan